Ingénierie et Construction

Traditionnellement confronté à de faibles marges et à des niveaux de risques importants, le secteur de l’ingénierie et de la construction doit faire face à de nouveaux défis tout en restant largement dépendant des budgets d’investissement de l’Etat et des collectivités publiques.

23,1 %

de croissance annuelle de la taille du marché des Smart Cities de 2017 à 2022

Source : Paris Région

43 %

des entreprises françaises ont souscrit à des services de Threat Intelligence

Source : La construction à l’heure de la cybercriminalité

75 %

des start-up du secteur jugent les processus de prise de décision des grands groupes trop longs

Source : étude NKCCG

Les acteurs du secteur de l’ingénierie et de la construction font face à de nouveaux enjeux. NKCCG les accompagne.

Une perspective de croissance pour la France ?
Des projets phares
Un secteur en mouvement

Ingénierie et construction : des chantiers porteurs

Une perspective de croissance pour la France ?

Le secteur de l’ingénierie et de la construction participe à la bonne santé de l’économie française. Les experts de NKCCG estiment qu’1 milliard d’euros investi dans le secteur générerait 2,3 milliards d’euros de revenus additionnels pour l’économie française*.

Des projets phares

Le secteur reste dépendant de la gestion des budgets d’investissement de l’Etat et des collectivités locales. En France, malgré l’augmentation de la dette publique, l’Etat maintient une politique de grands travaux. Après les récents chantiers LGV (Ligne à Grande Vitesse), l’émergence de grands projets devrait permettre de relancer la croissance et de générer des emplois, mais exposent en contrepartie le secteur à une raréfaction de la main d’œuvre notamment qualifiée.

Cinq grands projets ont démarré en France : EDF Grand carénage, le Grand Paris, le projet Cigéo, le Canal de Seine Nord et les Jeux Olympiques de 2024. Ces projets pourraient permettre de créer plus de 84 000 emplois par an sur la quinzaine d’années à venir. Par exemple, l’accueil des Jeux Olympiques d’été en 2024 à Paris engendrera un investissement de 3 milliards d’euros sur 7 ans et plus de 5 000 emplois potentiels par an.

Un secteur en mouvement

Plus fondamentalement, l’évolution démographique et l’urbanisation rapide participent activement à la progression de l’activité. En matière de logements 28 « zones tendues » ont été définies dans lesquelles l’offre est insuffisante par rapport à la demande. Autant de zones où le besoin en constructions neuves est fort.

Autres facteurs favorables à l’activité du secteur : le plan de rénovation énergétique et les nouvelles technologies. Rénover le parc immobilier ancien devrait porter également le secteur et créer des opportunités pour les acteurs du marché. Tout comme la domotique et les nouvelles technologies qui accélèrent les procédés de construction (impression 3D) ou améliorent la performance du suivi de chantier (applications, modélisation des données du bâtiment…).